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° ¤ ChEz RyNe ¤ °

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I feel like a popcorn

Il y a eu toutes ces choses. Qui se sont passées. Et repassées. Et l'incapacité de les écrire. De trouver les mots. L'angoisse de les rendre plus réelles qu'elles ne l'étaient déjà. J'ai eu très peur d'écrire, pendant tout ce temps.

Et puis j'en suis là, à vouloir que tout soit derrière moi une bonne fois pour toute. Tirer un trait et recommencer ailleurs.

Il faut que je résume un peu, mettre tout ça en place. m'a quitté le 26 mai au matin. Avec des larmes dans ses yeux comme s'il était celui qui avait mal. Ses raisons étaient bizarres. Je ne lui en ai pas voulu. On a continué de se voir. Comme avant, mais sans s'embrasser. Ca me faisait du mal, un peu, mais l'avoir à moitié c'était déjà beaucoup. Et puis il se livrait bien plus. J’avais l’impression d’y avoir gagné quelque chose. Et puis je suis partie à Nice le 8 juin, chez parce que j'avais besoin de me retrouver après tout ça. Partir loin de toute cette ambiguïté pour me faire définitivement à l'idée qu'il n'y aurait plus rien entre lui et moi. Et puis Caille, et tout ce que ça implique. Ca s'est bien passé avec elle. Je suis fière de ce qu'elle est, de ce qu'elle a. J'ai confiance en ce qu'elle deviendra. Le 13, j'ai rejoint sur Lyon après avoir fait un arrêt de30 minute à Marseille où j’ai vu Dine et où je me suis trompée de train. La première fois que je voyais Bourbinours. Ca m'a fait bizarre, c'est une toute petite chose.

Mon père m'a téléphoné le soir même pour m'annoncer le décès de mon grand-père. Comme si les choses arrivaient toujours quand on ne les attend plus. Il y a les gens qui s'en vont. Qui laisse une grosse trace de leur patte sur le cœur des autres. Ou pas. Il y a cet amour là. Celui que les gens disent plus fort que la mort. Les gens sont cons. Bien sur on aime toujours. Bien sur on y pense et on fait vivre l'autre à l'intérieur de nous. Mais l’amour de l'autre qui n'est plus, il est où? Mon grand-père était la seule personne de ma famille qui n'aimait pas les gens simplement parce qu'il existait quelques ressemblances entre son ADN et le leur. Il détestait beaucoup. Il criait. Il faisait du mal. S’il m’aimait, c’est parce que j’étais moi. Parce que j'étais le genre de personne qu'il avait envie d'emmener à Mc Do, et que ça le faisait sourire de me regarder crier comme lui. Descendance achevée.

Il est le seul, à m'avoir aimé comme ça.

Mes parents m'aiment, je le sais, mais parce que je suis leur fille. Le genre d'amour qu'on ne choisit pas. Qui nous tombe sur la gueule un 5 mai 1987 et qui nous suivra sûrement jusqu'a la fin. Je sais que ça n'est pas juste, mais je trouve que cet amour là a moins de valeur. Pas parce qu'il ne compte pas, mais parce qu'on ne la pas choisit, parce qu'il est au-dessus de toute raison. Il est, c'est tout. Quand mon grand-père est parti, j'ai perdu la seule personne qui m'ai aimé vraiment, choisit pour ce que j'étais. Point.

Boubinours a su être là. Le sien était parti deux mois avant. Elle savait. Je suis donc repartie le lendemain. J'avais peur de rentrer chez moi. Je n'avais aucune idée de ce que je pouvais attendre. Comment serait mon père. Ma grand-mère. J'ai appelé Costa. Je n'ai pas voulu lui dire pourquoi, mais je lui ai demandé si on pouvait se voir. Il a dit qu'il viendrait me chercher à la gare. Et j'ai dormit chez lui. Je lui ai tout dit, il a sur être là. Comme un ami. Sauf qu'il a fallu que 5h du matin arrive et que ses mains me touchent comme elles n'auraient pas du. Je ne l'attendais plus. Je m'étais faite à l'idée qu'il n'y aurait plus rien. Comme si les choses arrivaient toujours quand on ne les attend plus.

Je suis rentrée chez moi. J'ai pleuré un peu en silence autour d'une casserole d’eau chaude en croisant le regard de mon père. Il était comme avant, sauf qu'il parlait de cercueil et de formalités du même genre. Le lendemain, je suis allée le voir à la morgue. Tout le monde me disait qu'il était beau. Qu'ils avaient fait du bon boulot. Moi j'ai trouvé qu'il avait juste l'air mort. Pas du tout en train de dormir comme ils l'avaient tous dit. J'ai cette image dans la tête. Nette.

Vendredi 15, je suis sortie au Sand malgré les circonstances. J’ai fait celle qui allait bien, même que c'était un peu le cas. Costa était là et il m’a dit bonjour et il s’est sauvé comme il le fait toujours quand ses potes sont là. Je m'y suis faite, je ne dis rien. Je suis quand même confuse, mais c'est une habitude. Et puis vers 3h du matin, complètement bourrée, je craque complètement.  Je pleure, j’ai d mal à respirer. Sans trop savoir la raison précise. C'est mon  grand-père. C'est Costa. C'est . C'est l'alcool. C'est ma vie qui fait n'importe quoi.

Costa est venu me voir, on s'est engueulé. Enfin vaguement. J'ai surtout crié, j'ai dit des choses ridicules que je ne pensais pas. Je lui ai demandé des comptes alors qu'il ne m'en doit pas. Je lui reprochais de ne pas se soucier de moi alors qu’il avait été là. Je crois que je l'ai perdu ce soir là. J’aurais voulu qu’il se rende compte que ça n’était pas a cause de lui. J’étais juste triste comme je ne l’avais jamais été. J’ai juste réagis comme j’ai pu. Le dimanche, je suis allée dormir chez lui. Tout s’est bien passé. Mais il était un peu ailleurs, c'était comme si je devais me forcer à tendre le bras pour l'atteindre. Lundi, c'était l'enterrement. Voir des gens qu'on ne connaît plus. Se sentir vide. S'en vouloir de penser a des choses auxquelles on ne devrait pas penser. Pleurer. Et puis rire avec mon frère ,ma cousine, et son copain. Exilés à 4 dans la cuisine de ma grand-mère. On aime pas trop cette famille. D'abord parce qu'ils m'appellent  et qu'ils appellent ma cousine . Ensuite parce qu'ils disent "sincères condoléances" comme d'autres disent bonjour et qu'ils ne nous regardent même pas dans les yeux. J'aime pas les gens. J'aime pas, j'aime pas, j'aime pas.

Le soir même, Emma et Dine me demande une dernière fois si je peux pas venir à la rencontre joueb à Paris. Mon père dit oui. Je prends le train de 19h. Je me perds dans le RER (ça n'étonnera personne). Emma se perd  cause de moi. Je retrouve Dine et les autres à Châtelet. Je ne retiens pas les prénoms (a part celui de Songe, mais je le connais déjà). On m'asseoie à côté de Manzin qui s'introduit d'un jeu de mots débile qui me fait réaliser que lui, je vais bien l'aimer, même si je nele lis jamais. Je raconte ma vie à passionnée-par-les-rêves. On s'en va. On retrouve des potes d'Emma devant le panthéon. Je les aime bien. Ils sont vraiment sympas et ne nous laissent pas entre nous sous prétexte qu'on ne fait pas partie de la bande. On dort chez Th. Au réveil, on meurt de chaud. Je parle un peu avec Emma. J’aime bien sa petite voix. Elle est douce quand elle parle. Ca contraste avec ma voix d’homme. J’aime les gens qui ne sont pas comme moi. Et puis, après avoir oublié mon pull chez Th, on prends le bus le plus bondé de Paris pour retourner chez elle. Le reste de la journée se passe. J'attends des nouvelles de Costa, on devait aller à la mer le lendemain ensemble, et j’ai besoin de savoir si je dois prendre mon train ou non. On retourne chez ses potes. Je les aime bien, tous, mêmes s'ils auraient pu s'appeler Pépin... 23h55, j'appelle Costa péniblement (il me reste un fond de fierté, malgré tout). Il me dit ok pour demain. J'ai l'impression qu'il se force. Je sens que ça n'est pas qu'une impression.

Je suis ivre, on rentre chez Emma. Je manque de tuer son lapin, laissant la trace de mon arrière train sur sa cage. Je manque de rater mon train, aussi, le lendemain matin. Costa vient me chercher en retard. Il grille un stop et se prend une amende de 90 euros. La distance est encore pire que dimanche. Mais je suis à la mer et je suis bien. On passe la journée là bas. Il me raconte des choses que je ne savais pas. Je lui demande le secret qu'il me doit de mon anniversaire. Il me dit qu'il n'en a pas. Il me dit qu'il n'est pas intéressant et qu’il le pense vraiment. On marche un peu vers les dunes. Denise m'appelle des Etats Unis. Elle a appris pour mon grand-père. Elle me dit qu'elle viendra peut être fin juillet. Elle me parle de ses tatouages. On rentre.

J'ai envie d'un Mc Do. On va le manger chez moi. Il voit ma mère, mon père, ma grand-mère. Il fait le petit homme poli avec un timide bonjour de gamin de 10 ans. Je trouve ça mignon. Il s'en va. Je suis contente. La distance s'est réduite au fil des heures. Mais je sais qu'il ne reviendra pas. Cette fois c'est la fin.

est arrivé de Rouen jeudi. Elle est heureuse avec son homme. Je suis vraiment contente pour elle. Ses histoires et ses textos niais me fond sourire. Comme Titanic. On va à la fête de la musique sur Lille. On rejoint et . et arrive aussi. On va tous boire un verre aux trois brasseurs. arrive avec des gens et une poussette. Elle me parle comme si j'étais sa meilleure amie. et elle c'est finit. Mais ça reprendra un jour ou l'autre. Il y a des gens comme ça, qui se retrouveront toujours. Nala et Costa sont comme ça. On va jusqu’au bar A en semant des gens sur la route. Une fois là bas il ne reste que Soubrette, Kournikova, Mélie et Jefferson. De loin, je vois Costa arriver avec Nala et les autres. J'ai lu de la peur dans son regard. Il a dit bonjour a tout le monde d'un signe de main pour éviter de croiser mon regard. Je me sens tout à fait vide et pitoyable. Il s'en va. J'efface son numéro de mon potable. Le arrive. aussi, on passe une bonne soirée. Je suis heureuse que Soubrette soit là. On bouge, on danse, je souris. On dort chez le pianiste. On passe la journée à glander devant la télé. Florence Foresti raconte mon histoire dans son sketch. Même le prénom  de Costa est le même.

Soubrette s'en va le samedi.

Kournikova m'a proposé d'aller manger chez elle. sera là avec son homme. Axel aussi. En ce moment, on se voit beaucoup, avec Nath. J'adore cette fille. C'est une des seules bonnes personnes que je connaisse. Je voudrais la garder. (et il faut encore que je lui donne son cadeau d'anniversaire datant d'il y a deux mois qui traîne chez moi depuis trop longtemps). On st allé au feu de la St Jean. Mais le feu en question était déjà presque éteint quand on est arrivé alors on a préféré migrer plus loin pour un concert de vieux rock. C'était franchement sympa. Voir ces vieux barbus bidoneux jouer tous ces classiques avec une maîtrise franchement impeccable.

Et puis on est allée au Sand hier avec les filles, sans avoir rien bu. Jefferson et Tom était là aussi.  Je ne veux plus  aller au Sand aussi souvent qu'avant. Trop de souvenirs douteux. Trop de gens que je veux éviter. Trop de Costa. Je me suis amusée. Il y avait un monde fou. J'ai bien rigolé avec et . Je croyais que Costa n'était pas venu avant de me rendre compte qu'il était là, et donc qu'il était passé passer par la piste plutôt que par dehors pour que je ne le vois pas (ou bien je me donne trop d'importance et qu'il la fait seulement pour ne pas montrer son jogging immonde a tout le monde) (ouais, la première option me parait quand même plus probable). Je l'ai quand même croisé au bar et je l'ai fixé. Quand il a été obligé de croiser mon regard il a sourit et il est parti. Je ne sais pas ce que j'ai fait pour mériter ce genre de réaction. Comme si j’avais la peste.

Je me dis que peut être il est retourné avec Nala, et qu'il n'ose pas me le dire. Qu'il a honte. Ca expliquerait la peur dans son regard. J'en sais rien. Je veux l'oublier. Je ne veux même plus comprendre. C'est trop tordu. Le rôle qu’il me fait jouer, ça n’est pas la fille que je suis. Je ne suis pas faible. Je ne suis pas un jouet. Je ne suis pas une victime. Je sis la fille à la Senic. J’ai cru être celle à la caravane pendant longtemps. J’aurais voulu l’être. Mais non, je suis la fille à la Senic. Celle qui veut de la stabilité. Celle qui veut que les choses soient simple et que les choses soient dites. Je l’aime. Mais je ne lui courrais plus après.

m'a parlé de son histoire avec . La même que Costa et moi, sauf qu'elle en est au début. En même temps, je me souviens de Jésus qui me disait, en essayant de me rassurer, qu'il marchait exactement comme Costa, sentimentalement parlant, et que je ne devais pas m'en faire. Qu'il tenait à moi mais qu'il y avait ses potes et plus loin sa copine. Alors j'ai dit ce que je pouvais à Heroine, pour qu'elle ne merde pas, pour que tout se passe bien pour elle. Si elle veut que ça marche, elle doit juste le rendre heureux quand il se voit, et ne rien demander de plus. Il ne faut pas qu’elle hésite à lui proposer de le voir, juste parce que lui ne le fait pas. Il sera content de la voir. Même si c'est dur, même si elle se pose des questions. Si elle est assez patiente, il finira par lui dire ce qu'elle a envie d'entendre et ça sera beau, et ça vaudra beaucoup, parce qu'ils ne le font jamais, ces hommes là. S'ouvrir pour de vrai. Tomber amoureux. Elle m'a dit que j'avais raison, qu'elle ferrait comme j'ai dit. J'espère que tout se passera bien pour elle.

Moi, je me réveille d'un cauchemar où Costa me dit que Nala a su être là pour lui quand moi j'étais ailleurs et que les choses ont changé entre eux et que ça ne me regarde pas. Je me réveille d'un rêve ou il la prend dans ses bras en me parlant de banalités, comme si tout était normal. Je me réveille en me disant que même dormir ça ne me fait plus envie.

Heureusement, tout ça me passera. Tout ça sera derrière moi, bientôt. Et puis ma cousine va avoir un deuxième bébé. Et ça c'est beau, c'est un vrai bonheur. J'aurais voulu que mon grand-père le sache. J'aurais voulu beaucoup de choses.

Ecrit par ryne, le Lundi 25 Juin 2007, 19:07 dans la rubrique "*-_Vue d'ici_-*".

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Commentaires

aphone

aphone

25-06-07 à 19:47

Bouh Ryne, tu as réussi à écrire. C'est tout émouvant ton texte.
J'aime tes photos. Celle de la p'tite elle est vraiment ... J'aurais pas cru qu'elle sortait de ton appareil.
Maintenant j'arrête le lancer d'fleurs parce que tout le monde va croire que j'suis amoureuse et que l'empreinte de tes fesses dans la cage de mon lapin est la plus belle chose que je possède.
=)


Re:

ryne

ryne

25-06-07 à 19:56

Te fais pas d'idées, tout le monde le sait que tu m'aimes d'une passion dévorante plus grande encore que ta passion pour le nuttela ou pour Joumana!

Et puis merci, pour les photos, ça me fait di plisir. Mais tu sais, c'est surtout mon appareil qui fait de belles photos. Moi j'appuie jsue sur le bouton.


Re:

aphone

aphone

26-06-07 à 16:56

Le joueb de Joumana étant décédé, il faut bien que je trouve qqn d'autre à parasiter ^^

Ouai la meuf elle est trop modeste. J't'ai vu à l'oeuvre, sale artiste. Genre tu t'arrêtes en pleine rue et tu cries PHOTO LA MAINTENANT POUSSE TOI !!! comme si Dieu t'avait ordonné de prendre une photo la maintenant tout de suite, bam tu sors ton appareil, tu te mets sur la pointe des pieds, tu penches la tete legerement, tu cadres, t'appuie et tu fait VOIIILAAAA !
Alors le, ouai euh nan mais juste j'appuie, MON CUL ouai ^^


Re:

ryne

ryne

26-06-07 à 21:04

Bon c'est vrai que quand je vois une photo, je dois la prendre. Mais là je ne montre que celles que j'aime, j'en ai raté pleins. Artiste, c'est franchement pas le mot qu'il faut.

Eh, j'ai fait cedé mes parents, je suis donc l'heureuse mère célibataire d'un petit ratou. Il lui faut un nom. Ceux en competition pour le moment sont : Hiroshima, Gastro, Grumo, Fétide, Doowey et Samossa.

Propose m'en d'autres, pourvu qu'ils soient ridicules!!


Re:

aphone

aphone

26-06-07 à 21:13

Waaah dis c'est un mec ? On pourra faire une présentation avec Lundi ? Ou alors tes parents vont peter un cable si je ramène un deuxième ratou chez toi ^^ ?

Moi j'aime bien Samossa, Hiroshima ça m'fait bader, j'viens de lire Hiroshima mon amour, de Marguerite Duras.
Enfin j'ai bien eu un chat qui s'appelait Tchernobil.
^^

(Jvais y réfléchir mais suis nulle en prénom)


inconsciente

inconsciente

25-06-07 à 21:21

Dommage
J'aurais aimé te croiser

et continuer cette nuit de folie avec vous

en tout cas que de choses dans ta vie en quelques jours !

:)


Re:

ryne

ryne

25-06-07 à 22:33

On aura bien l'occasion de se refaire une petite journée/soirée joueb d'ici peu. C'est les vaances après tout!

J'aurais voulu te voir en vrai aussi (j'ai quand même pu voir une photo de toi ;) )

Oui, beaucoup de choses...


Re:

Anonyme

25-06-07 à 23:23

Beaucoup d'émotions...
Merci pour le texte.
annah


Re:

inconsciente

inconsciente

26-06-07 à 09:05

oui mais sur les photos je suis MOCHE !! haha ;)


manzin

manzin

26-06-07 à 13:30



heeeeeeyyyyyyyyy !!

wouhouhou
attends mais c'est la teuf t'as pondu un mega article! Alors là, tu te demande si je suis con ou si j'ai vraiment lu ton texte. Oui du premier, au dernier mot, j'ai ptete du en sauter un ou deux mais pas plus.
D'ailleurs, j'aurais préféré que tu parles plus longuement de moi, j'ai un besoin de reconnaissance plutôt développé.

Ceci étant, je vais me permettre de reprendre un point de ton récit, et je suis plutot sérieux. Ce que je vais dire n'engage que moi et j'espère ne vexer personne, mais je trouve que les conseil que tu prodigue à ta pote pour sa relation avec Jesus (revieeeent jééésuuus revieennnt) c'est d'la merde. Je suis peut être de la vieille école, ou trop romantique mais classer sa copine après ses potes est, il me semble, un manque de maturité flagrant. En tant qu'homme je suis légèrement outré (et non pas loutré) de lire des trucs comme ça. On choisi pas sur qui vont tomber nos sentiments, bien sur, mais n'empêche que des mecs plus attentionné et qui savent avoir une relation équilibré entre amis et nana, ben tu vois, ça existe!
D'ailleurs moi même... mais bon ce n'est pas le sujet.
Alors tu vois quand tu lui dit qu'elle doit juste l'attendre et faire en sorte que tout aille bien quand ils se voient, ben là je ne suis pas d'accord. Une relation de couple c'est quelque chose qui doit être équilibré, là comme tu lui demande de faire c'est en gros d'être sagement disponible quand mossieur à envie de tirer son coup et de ne pas le déranger quand il est avec sa meute. C'est une non respect total de sa nana, et à se titre il existe des femmes à l'affection négociable qui ne souffriront pas de cette attitude qui détruira ta pote à petit feu. Je sais que c’est dur de réalisé pleinement se genre de chose quand on se lance dans la relation, on a envie que tout aille bien, on est près à tous les sacrifices, mais le résultat final est, hélas, souvent le même. Soit elle met les choses au point tout de suite, soit elle va voir ailleurs, genre chez des mecs, pas des gamins.
Voilà qu'est ce que j'en pense, et houlala c’est un brin sec. C’est que ça me révolte un petit peu ! huhu

Sinon, moi aussi je t'aime bien ^^


Re:

ryne

ryne

26-06-07 à 13:49

Oh ben oui mon Manzin je suis d'accord avec toi. Mais le truc c'est qu'il y a une petite différence entre Jésus et Costa. Jésus ne l'ignore pas en publique, lui, c'est un mec moins frustré.

Il est juste incapable pour le moment de faire des promesses d'amour durable. Mais ça ne fait que deux ou trois semaines qu'ils ne se voient que le wek end (donc on va dire qu'ils se sont vus trois fois). Alors je ne peux pas dire que j'en veux à Jésus de rester mystérieux.

Si j'avais vu que le gaillard se comporter à la Costa dans sa totalité (genre, me regarde pas, tu me fais peur mais touche moi la queue si tu veux) j'aurais dit à Héroine de se barrer en courant et au galaop plutôt qu'au trot s'il vous plait.

Bon, quand est ce que tu écris mon éloge pré mortem?? (ça se dit pas ça dit?) (je ne suis pas encore arrivée à la lettre P)


Re:

manzin

manzin

26-06-07 à 20:57

voilà je t'ai élogé dans mon dernier article fleuve.
J'avais envie de parler alors j'ai écris pour changé, du coup c'est un peu du n'importe quoi décousu.


Malabar

26-06-07 à 18:05

Ryne j'attendais ton article. Hier Dine m'a dit que t'en avais écrit un de nouveau alors je suis allée voir. C'est un peu gris quand même... Je lis ton histoire, tes histoires et pis je fais le parallèle avec les miennes. Je repense à mes grand-parents qui se sont suivis et partis au moment où ma vie ressemblait vraiment à un désastre. Je leur en ai voulu, un peu, de me laisser en plan comme ça. De ne pas m'attendre, que je puisse les embrasser, tu vois. Et puis, je repense à une autre sosie de Costa, mais à la différence de ce que tu écris, moi je veux toujours comprendre. Comprendre ce que j'ai pu faire de mal. Je ne supporte pas les non-dits et tout le bordel.

Tu pourras faire un détour à Lyon en juillet, dis?


Re:

Anonyme

26-06-07 à 21:01

Comprendre ne servirait a rien, vu que tu n'es pas en tord. Il n'y a pas de leçon a tirer d'une explication quelconque, seulement de la situation que tu connais déjà.

Enfin c'es ce que je pense...

J'aimeras que tu me racontes cette histoire avec son sosie.

J'aurais voulu, pour lyon, te voir et tout ça. Mais je pense que ça va être dure question compte en banque. Mais peut être, qui sait, si je gagne au loto ;)


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